Le projet wij-zij est né de la volonté de créer un réseau et un pôle d’échange autour de la polarisation. Nous ressentons en effet fortement un besoin et une demande grandissants d’une réponse durable aux problèmes de polarisation, aux controverses et aux conflits. Wij-zij cherche à diffuser des outils et des stratégies pouvant offrir un repère professionnel.
Le réseau est porté par Kazerne Dossin, l’Institut flamand pour la Paix, l’Union des villes et des communes flamandes, l’université de Gand, l’Athénée royal d’Anvers, le Comité spécial pour l’Éducation à la Mémoire (BCH), Democratische Dialoog, le Fonds Aurore Ruyffelaere, la Police intégrée, l’Institut Hannah Arendt, la Ville de Malines et l’Enseignement Catholique de Flandre.
Contexte et historique
Dans le cadre de son fonctionnement, Kazerne Dossin – le musée et centre d’expertise sur la Shoah et les droits humains – part du récit historique de la Shoah en Belgique pour réfléchir à des phénomènes tels que la radicalisation cumulative et la polarisation. La principale mission pédagogique ne consiste pas seulement à mieux comprendre le monde d’aujourd’hui, mais aussi à jeter des ponts pour demain et entraîner un véritable changement sociétal.
Kazerne Dossin a été dans ce cadre confronté à une demande croissante de savoir-faire en matière de polarisation. Cette demande sortant de son fonctionnement de base, Kazerne Dossin s’est attelé au développement du projet wij-zij.
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